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Arts du feu : une collection unique

La collection d’émail assure la singularité et la renommée du musée des Beaux-Arts de Limoges.
Agrandir l'image - fenêtre modale Aya Iwata, Kumonoie, 2020 – 2023.1.3 Agrandir l'image - fenêtre modale Henriette Marty, Vase, 1930 – 90.466 Agrandir l'image - fenêtre modale Léonard Limosin, Galiot de Genouillac, entre 1540 et 1546 – 87.446 Agrandir l'image - fenêtre modale Pixyde, 2e moitié du XIIIe siècle – 999.9.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Suzanne Court, Le Parnasse ou Apollon et les muses, vers 1600 – 2001.11.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Ange-reliquaire, 1120-1140 (statuette) et XIIIe siècle (base et reliquaire) – Cl. MH 20.06.1891 Agrandir l'image - fenêtre modale Le massacre des innocents – L’Adoration des mages, 3e quart du XIIIe siècle – 2007.8.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Maître IC, Adam et Eve, vers 1560 – 319 Agrandir l'image - fenêtre modale Suzanne Court, Le Jugement de Pâris, vers 1600 – 2003.8.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Paul Bonnard, Ginko Bilboa, vers 1910 – 2006.11.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Léa Sham’s, Le dernier pot du siècle, 2000 – 2002.10.1-2 Agrandir l'image - fenêtre modale Jeanne Soubourou, Les rois mages, vers 1930-1940 - 2020.4.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Henriette Marty, Vase, vers 1930 – 2009.11.1 Agrandir l'image - fenêtre modale Francis Chigot, Les Baigneuses, avant 1920

Plus de 600 pièces illustrent la production des ateliers limousins du moyen âge à nos jours et offrent un aperçu de la création internationale. Les émaux champlevés, réalisés par les orfèvres limousins du Moyen Age et diffusés dès cette époque dans toute l’Europe sous l’appellation d’œuvre de Limoges, côtoient les célèbres émaux peints de la Renaissance, dont le musée possède l’une des dix plus importantes collections au monde.

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